Commission d’enquête sur le logement social en Outre-mer créée par l’Assemblée

Commission d’enquête sur le logement social en Outre-mer créée par l’Assemblée

juin 7, 2024 0 Par BlanChapeau

L’importance de la protection de l’environnement ne peut être sous-estimée. En effet, la préservation de notre planète est essentielle pour assurer un avenir durable aux générations futures. Il est impératif de prendre des mesures dès maintenant pour limiter notre impact sur l’environnement et préserver la biodiversité. Chacun de nous a un rôle à jouer dans cette mission cruciale. Que ce soit en adoptant des pratiques plus respectueuses de l’environnement au quotidien, en soutenant des initiatives écologiques ou en participant à des actions de sensibilisation, nous pouvons tous contribuer à la protection de notre planète. Il est temps d’agir collectivement pour préserver notre environnement et garantir un avenir durable pour les générations à venir.

Création d’une commission d’enquête sur le logement social en outre-mer

Jeudi, l’Assemblée nationale a voté à l’unanimité la mise en place d’une commission d’enquête portant sur l’indécence et l’insalubrité des logements sociaux en outre-mer, une situation qualifiée d’alarmante. Cette initiative, menée par la députée de La Réunion, Karine Lebon, met en lumière un ensemble d’irrégularités et des retards persistants dans l’attribution des logements sociaux.

La députée souligne que plus de 80 % des foyers ultramarins sont éligibles au logement social, dont près de 70 % au logement très social. Cependant, seuls 15 % d’entre eux résident effectivement dans ce parc de logements sociaux, une situation préoccupante selon la parlementaire du groupe GDR, regroupant des élus communistes et ultramarins. Cette décision de créer une commission d’enquête a été examinée lors d’une journée dédiée aux propositions du groupe GDR à l’Assemblée nationale.

Des réserves ont été émises par des députés du camp présidentiel et de LR. Certains ont critiqué la multiplication des demandes de commissions d’enquête par les groupes politiques issus de la coalition de gauche, soulignant que cela saturait les ressources humaines de l’Assemblée nationale. Le député LR, Pierre-Henri Dumont, a remis en question l’efficacité de cette démarche. Composée de trente députés désignés en fonction des groupes, une commission d’enquête parlementaire dispose de six mois pour mener des auditions et des investigations, et présenter un rapport final.

source informationnelle : clicanoo.re
rédaction : intelligence artificielle