Demande de plus de 3 millions d’euros de l’ex-Carif Oref à l’État et la Région

L’ancien Carif Oref, organisme régional d’études et de formations, réclame une somme de plus de 3 millions d’euros à l’État et à la Région. Cette demande fait suite à la liquidation judiciaire de l’organisme, qui a laissé de nombreux salariés sur le carreau.

Selon les responsables de l’ex-Carif Oref, cette somme correspond à des créances impayées et à des dettes contractées auprès de l’État et de la Région. Ils estiment que ces institutions ont une responsabilité dans la situation financière délicate de l’organisme, et qu’elles doivent donc contribuer à son redressement.

Cette demande de plus de 3 millions d’euros intervient dans un contexte de crise économique et sociale, où de nombreuses structures de formation et d’accompagnement rencontrent des difficultés financières. L’ex-Carif Oref espère ainsi obtenir une aide financière significative pour pouvoir continuer à remplir sa mission d’accompagnement des demandeurs d’emploi et des salariés en reconversion.

L’affaire est désormais entre les mains des autorités compétentes, qui devront décider si elles accordent ou non cette aide financière à l’ancien Carif Oref. En attendant, les salariés de l’organisme liquidé sont dans l’attente d’une solution pour récupérer les sommes qui leur sont dues.

Demande de plus de 3 millions d’euros de l’ex-Carif Oref à l’État et la Région

L’ancien Carif Oref, organisme régional d’études et de formations, réclame une somme de plus de 3 millions d’euros à l’État et à la Région. Cette demande fait suite à la liquidation judiciaire de l’organisme, qui a laissé de nombreux salariés sur le carreau.

Selon les responsables de l’ex-Carif Oref, cette somme correspond à des créances impayées et à des dettes contractées auprès de l’État et de la Région. Ils estiment que ces institutions ont une responsabilité dans la situation financière délicate de l’organisme, et qu’elles doivent donc contribuer à son redressement.

Cette demande de plus de 3 millions d’euros intervient dans un contexte de crise économique et sociale, où de nombreuses structures de formation et d’accompagnement rencontrent des difficultés financières. L’ex-Carif Oref espère ainsi obtenir une aide financière significative pour pouvoir continuer à remplir sa mission d’accompagnement des demandeurs d’emploi et des salariés en reconversion.

L’affaire est désormais entre les mains des autorités compétentes, qui devront décider si elles accordent ou non cette aide financière à l’ancien Carif Oref. En attendant, les salariés de l’organisme liquidé sont dans l’attente d’une solution pour récupérer les sommes qui leur sont dues.

juin 9, 2024 0 Par BlanChapeau

Le Tribunal administratif a été saisi d’une affaire opposant l’ex-Carif Oref, en liquidation depuis 2018 en raison de difficultés financières, à la Région et à l’État. L’association réclame un montant considérable de près de 3,2 millions d’euros, qu’elle estime être le résultat d’une gestion défaillante de la part des autorités publiques. Lors de l’audience, le liquidateur judiciaire de l’association, Me Hirou, a plaidé en faveur de cette demande. Cependant, le rapporteur public a recommandé le rejet de celle-ci, arguant que les preuves apportées n’étaient pas suffisantes pour démontrer une quelconque faute de la part de la Région et de l’État dans la gestion de l’ex-Carif Oref.

Un nouveau rebondissement autour de l’ancienne association Carif Oref

Une affaire tumultueuse se dessine autour de l’ancienne association Carif Oref, qui a été liquidée il y a six ans et a laissé 25 employés sur le carreau. Cette association, régie par la loi de 1901, jouait un rôle clé en tant qu’observatoire et acteur incontournable dans le domaine de la formation professionnelle à La Réunion. Elle était financée par l’État et la Région, avec le soutien de l’Europe. En mai 2018, elle a été placée en redressement judiciaire en raison de nombreux impayés, cumulant près de 900 000 euros, principalement dus à des retards de paiement du FSE (Fonds social européen).

Des alertes répétées avaient été lancées par les partenaires sociaux, suivies par la Dieccte, devenue DEETS, et la préfecture. Tout le monde semblait chercher à se protéger. Finalement, l’association avait été liquidée quelques mois plus tard et en partie cédée à Réunion Prospectives Compétences.

Me Hirou, liquidateur judiciaire représentant les créanciers, avait demandé trois ans plus tard à la Région et à l’État de verser 3,188 millions d’euros « en raison de leur mauvaise gestion de l’association ». Cette demande était motivée par le fait que l’association était considérée comme une « structure transparente » vis-à-vis de la Région et de l’État. En effet, sa création avait été initiée par une collectivité locale, ce qui la plaçait sous leur contrôle pour les missions d’intérêt public. Face au refus de la Région et de l’État, Me Hirou avait saisi le tribunal administratif pour combler le manque d’actifs de l’association.

Une mission de service public sans contrôle sur la gestion

Le tribunal administratif a tenté d’analyser si l’association Carif Oref était véritablement transparente. Selon le rapporteur public, Frédéric Sauvageot, plusieurs éléments plaidaient en faveur de la transparence de l’association. En revanche, le dernier indice, lié à l’organisation de l’association, montrait qu’elle n’était pas sous le contrôle de la Région ou de l’État. En effet, le rapporteur a souligné que les membres de l’association ne représentaient que partiellement ces entités. De plus, les organes de contrôle internes ne comptaient aucun représentant de la Région ou de l’État.

Le rapport d’audit réalisé lors du redressement judiciaire avait également mis en lumière le rôle prépondérant du directeur de l’association dans la gestion financière, sans ingérence de l’État ou de la Région. Face à ces éléments, le rapporteur public a recommandé le rejet de la demande de Me Hirou. Le verdict est attendu pour le 18 juin prochain.

L’influence des réseaux sociaux sur la société moderne

Les réseaux sociaux occupent une place de plus en plus importante dans nos vies. En effet, ces plateformes virtuelles nous permettent de rester en contact avec nos proches, de partager des moments de notre vie, mais également de nous informer et de nous divertir. Cependant, l’impact des réseaux sociaux sur la société moderne est de plus en plus discuté.

Tout d’abord, les réseaux sociaux ont profondément modifié notre manière de communiquer. Nous sommes désormais constamment connectés et nous partageons instantanément nos pensées, nos émotions et nos opinions avec le monde entier. Cette facilité de communication a permis l’émergence de nouvelles formes d’expression, mais a également entraîné une perte de la qualité des échanges, souvent réduits à des messages courts et superficiels.

Par ailleurs, les réseaux sociaux ont un impact sur notre perception de nous-mêmes et des autres. En effet, les utilisateurs ont tendance à mettre en avant une image idéalisée d’eux-mêmes sur les réseaux sociaux, ce qui peut conduire à des sentiments de jalousie, d’insatisfaction et d’infériorité chez les autres utilisateurs. De plus, la comparaison constante avec les autres peut avoir des conséquences néfastes sur notre estime de soi.

En outre, les réseaux sociaux sont devenus un outil de propagande et de désinformation. En effet, de nombreuses fausses informations circulent sur ces plateformes, et il devient de plus en plus difficile de distinguer le vrai du faux. Cette désinformation peut avoir des conséquences graves, notamment en influençant les opinions politiques et en alimentant les conflits sociaux.

Enfin, les réseaux sociaux ont également un impact sur notre santé mentale. L’utilisation excessive de ces plateformes peut entraîner des problèmes d’anxiété, de dépression et d’isolement social. De plus, la dépendance aux réseaux sociaux peut nous empêcher de vivre pleinement le moment présent et de profiter des interactions réelles avec les autres.

En conclusion, les réseaux sociaux ont profondément transformé notre société, tant sur le plan de la communication que sur celui de la perception de soi et des autres. Il est important de prendre du recul par rapport à ces plateformes et de les utiliser de manière réfléchie, en veillant à préserver notre santé mentale et notre bien-être.

source informationnelle : clicanoo.re
rédaction : intelligence artificielle